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Hausse du blé

Le prix du blé a progressé, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mai 2014 valait 213,50 €/t (+ 2,75 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 186 €/t (+ 0,50 €/t).  Le prix du blé a progressé, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mai 2014 valait 213,50 €/t (+ 2,75 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 186 €/t (+ 0,50 €/t).   Les prix européens sont soutenus par ceux de la Bourse de Chicago « car les traders s'inquiètent de possibles perturbations sur le blé russe dans les prochaines semaines, en raison des sanctions occidentales imposées aux intérêts russes à travers le monde », explique Arnaud Saulais, négociant chez Starsupply Commodity.   « La parité euro/dollar plus favorable » bénéficie également aux céréales européennes, selon Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux et Associés, avec une légère baisse de la monnaie unique européenne face au billet vert.   Les inquiétudes sur la météo continuent de soutenir les cours mondiaux des céréales. Dans la région de la mer Noire, les semis avancent bien mais les pluies restent « insuffisantes », souligne Agritel dans une note. « Le weather market lié à la zone mer Noire pourrait jouer un rôle de plus en plus important sur nos marchés agricoles », commente le cabinet conseil.   Aux Etats-Unis, un temps très sec persiste sur les zones de production de blé, « impliquant toujours des interrogations sur l'état des cultures d'hiver. Néanmoins, les opérateurs vont être désormais de plus en plus attentifs aux semis de printemps », selon la même source.   Les prix des transports de matières premières sèches ont rebondi la semaine dernière, à la faveur d'une intensification des échanges entre la Chine et l'Australie. Indice phare du marché, le Baltic Dry Index (BDI) a fini, vendredi 21 mars, à 1.599 points, contre 1.477 points une semaine auparavant. Le Baltic Panamax Index (BPI), qui synthétise les tarifs pour quatre routes (la plupart pour les céréales), a terminé à 1.112 points vendredi, contre 1.113 points une semaine auparavant.    ...

lundi 24 mars 2014 - 18h09

En baisse

Le prix des céréales a reculé, vendredi sur Euronext. En fin d'après-midi, le contrat blé mai 2014 valait 210 €/t (- 1,25 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 185 €/t (- 0,75 €/t).  Le prix des céréales a reculé, vendredi sur Euronext. En fin d'après-midi, le contrat blé mai 2014 valait 210 €/t (- 1,25 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 185 €/t (- 0,75 €/t).   « Il y a des prises de profits, et aussi un peu moins d'acheteurs », a expliqué à l'AFP Damien Vercambre (Inter-Courtage).   De manière générale, « les marchés restent focalisés sur l'évolution des conditions climatiques, notamment sur les Etats-Unis, où les météorologues affichent un espoir de précipitations pour la fin du mois sur les grandes zones de production de blé », actuellement touchées par une sécheresse, explique Agritel dans une note.   Les exportations de céréales de l'Union européenne restent élevées, avec 536.000 tonnes accordées par Bruxelles cette semaine.   La remontée du dollar face à l'euro « pourrait ouvrir de nouvelles portes à un renforcement des prix des grains, notamment ceux exportés, car favorisant la compétitivité de ces produits au départ des ports européens. Le maintien d'une bonne dynamique sur l'activité export des céréales devrait ainsi être renforcé », souligne par ailleurs Agritel.   FranceAgriMer a diffusé, vendredi, son indicateur hebdomadaire de l'état des cultures, Céré'obs.  ...

vendredi 21 mars 2014 - 17h38

En repli

Les prix des céréales ont reculé, jeudi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mai 2014 valait 211,75 €/t (- 1,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 185,50 €/t (- 1 €/t).  Les prix des céréales ont reculé, jeudi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mai 2014 valait 211,75 €/t (- 1,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 185,50 €/t (- 1 €/t).   Mercredi en fin de journée, « les cours du blé ont évolué en nette hausse sur la place parisienne dans le sillage du marché de Chicago. Les inquiétudes sur les dégradations des cultures persistent », explique Offre et demande agricole.   « Les blés dans les Grandes Plaines américaines auraient reçu, depuis le début de l'année 2014, deux fois moins de pluie que la normale, et les prévisions météorologiques n'annoncent pour l'instant aucune précipitation sérieuse pour les semaines à venir », ajoute Agritel dans une note.   Cultivé dans ces régions, le blé Hard Red Winter (HRW) « représente la moitié de la production de blé américaine, 40 % des exportations, un beau produit meunier qui sert à faire du pain dans pas mal de pays du monde », explique Damien Vercambre, de la société Inter-Courtage.   Les prix du maïs ont été entraînés par ceux du blé, sachant que « la bonne demande sur le marché de l'alimentation animale permet toujours de soutenir les prix, dans un contexte où le maïs demeure compétitif par rapport au blé », analyse Agritel.   Dans la région de la mer Noire, l'Union russe des grains a annoncé la suspension des négociations sur la création d'un pool céréalier incluant la Russie, l'Ukraine et le Kazakhstan, dont le premier objectif était d'amoindrir la concurrence directe entre ces pays, rapporte Agritel. « La tenue de pourparlers sans Kiev est jugée absurde », explique le cabinet conseil.   Les exportations états-uniennes de maïs ont gardé une « bonne dynamique » au cours de la semaine du 7 au 13 mars, grâce aux inquiétudes sur l'Ukraine. Les ventes se révèlent largement supérieures aux attentes du marché, avec plus de 745.000 tonnes pour la campagne 2013/2014, à destination de la Colombie, du Japon, de la Chine et de l'Egypte. Les chargements frôlent les 930.000 tonnes. « La dynamique reste bonne », en partie grâce aux craintes liées à la crise en Ukraine, l'un des principaux exportateurs mondiaux de maïs, relève M. Sébastien Teucher, analyste chez Agritel. « Les opérateurs se sont dit qu'il fallait sécuriser les approvisionnements en maïs » auprès d'autres fournisseurs, explique M. Damien Vercambre (Inter-courtage), et cela malgré des prix en hausse. Le blé états-unien s'est lui aussi bien vendu la semaine dernière, avec plus de 400.000 tonnes sur la campagne 2013/2014, et environ le même volume expédié en Corée du Sud, au Japon ou au Nigeria. Mais ces chiffres restent encore inférieurs au rythme qu'il faudrait pour atteindre l'objectif d'exportation de 30 millions de tonnes que se sont fixé les Etats-Unis cette année, estime en substance Sébastien Teucher.    ...

jeudi 20 mars 2014 - 18h51

Prix en hausse

Le prix des céréales a progressé, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mai 2014 valait 211,25 €/t (+ 2,50 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 186,75 €/t (+ 2,25 €/t).  Le prix des céréales a progressé, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mai 2014 valait 211,25 €/t (+ 2,50 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 186,75 €/t (+ 2,25 €/t).   « La situation en Ukraine et les conditions sèches à l'Est (de l'Europe, nldr) impliquent toujours une certaine tension sur les prix, tant en ancienne qu'en nouvelle récolte », analyse Agritel dans une note.   « Si le discours de Vladimir Poutine a rassuré hier les opérateurs en affirmant que la Russie n'avait pas la volonté d'entrer en Ukraine, la situation sur place n'en reste pas moins au cœur des discussions » mais l'inquiétude porte davantage sur le financement des semis pour la prochaine récolte que sur les exportations actuelles, qui se déroulent sans anicroche », ajoute le cabinet conseil.   Sur la scène commerciale, l'Egypte a acheté 175.000 tonnes de blé, partagées entre la Russie, la Roumanie et les Etats-Unis. Le blé français n'a pas été retenu.   Les craintes climatiques concernent toujours une bonne partie du globe : les régions américaines productrices de blé, qui souffrent de sécheresse, mais aussi « toute l'Europe centrale et orientale, le Moyen-Orient et le nord de la Chine, sans oublier l'est de l'Australie où les semis vont débuter d'ici un peu plus d'un mois », énumère Agritel.   En France, sur le marché de gré à gré, le prix du blé était stable et celui du maïs prenait 1 €/t à la mi-journée.  ...

mercredi 19 mars 2014 - 18h22

En petite hausse

Les prix des céréales ont légèrement progressé, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mai 2014 valait 209 €/t (+ 1,25 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 185 €/t (+ 0,75 €/t).  Les prix des céréales ont légèrement progressé, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mai 2014 valait 209 €/t (+ 1,25 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 185 €/t (+ 0,75 €/t).   Le marché européen des céréales a marqué une pause, mardi, avec des cours quasi stables et un faible volume d'affaires, en l'absence d'éléments nouveaux sur l'Ukraine et la météo mondiale.   « Le marché s'enlise un peu car il n'y a pas de nouvelles fraîches. On attend des nouvelles d'Ukraine, on regarde les situations météo, avec quelques inquiétudes aux États-Unis et sur l'humidité des sols en Ukraine, mais rien d'extraordinaire en cette saison », a expliqué à l'AFP Edward de Saint-Denis, de la société Plantureux et Associés.   « Le marché juge le rattachement éventuel de la Crimée à la Russie comme une pause dans les tensions internationales », analyse Offre et Demande agricole.   Pour l'instant, c'est plutôt la question des semis de printemps et donc de la réussite ou non de la récolte 2014 qui focalise l'attention, alors que l'Ukraine est le troisième producteur mondial de maïs et le sixième de blé.   D'après Agritel, qui cite le ministère de l'Agriculture ukrainien, « 700.000 hectares ont été semés, dont une large majorité d'orge (...) La proportion de cultures jugées dans de bonnes conditions est confirmée à hauteur de 93 % pour les céréales d'hiver. La situation s'avère identique en colza, avec 94 % des surfaces en bonnes conditions ».   Inter-Courtage fait pour sa part référence à un rapport de l'analyste ukrainien UCAB qui prévoit « une perte de production céréalière de 11 millions de tonnes en 2014, du fait d'un risque que 20 % des terres arables ne soient pas semées, des faibles réserves d'eau dans le sol et des difficultés des agriculteurs en terme de financement ».   Aux États-Unis, « les interrogations restent (...) nombreuses sur l'état des blés d'hiver » en raison de la sécheresse de ces dernières semaines, note Agritel.   Sur la scène internationale, l'Égypte a lancé un appel d'offres pour l'achat de blé à livraison en avril, à la faveur du repli des cours, selon plusieurs analystes.   En Chine, « un fabricant d'aliments du sud a acheté 50.000 tonnes de maïs ukrainien, dans le cadre du prêt chinois en échange de matières premières », explique Damien Vercambre, de la société Inter-Courtage.   La récolte de céréales en Russie a atteint 92,4 millions de tonnes en 2013, selon une nouvelle estimation, a annoncé mardi le président de l'Union céréalière russe. « Les chiffres ajustés de Rosstat (le service de statistiques officiel russe, ndlr) de la récolte de céréales pour l'année dernière sont de 92,4 millions de tonnes », a déclaré Arkadi Zlotchevski, cité par l'agence Interfax.   La précédente estimation de Rosstat s'établissait à 91,3 millions de tonnes en 2013, un chiffre en nette hausse par rapport à 2012 où la Russie n'avait récolté que 71 millions de tonnes de céréales en raison d'un hiver très rude et d'une sécheresse au début de l'été. La récolte brute de maïs a atteint 11,65 millions de tonnes en 2014 - un record selon M. Zlotchevski. Il a par ailleurs indiqué tabler sur une récolte de 90 millions de tonnes de céréales en 2014, tout en soulignant que ce chiffre varierait en fonction notamment des conditions climatiques.   En France, sur le marché de gré à gré, les prix du blé étaient quasiment inchangés par rapport à la veille et ceux du maïs en légère baisse.  ...

mardi 18 mars 2014 - 18h11

En net repli

Les prix des céréales ont reculé, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mai 2014 valait 208,25 €/t (- 3,25 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 185 €/t (- 1,75 €/t).  Les prix des céréales ont reculé, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mai 2014 valait 208,25 €/t (- 3,25 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 185 €/t (- 1,75 €/t).   Les cours des céréales européennes se sont repliés, lundi, le marché étant un peu rassuré par le déroulement assez calme du référendum en Crimée, dont il avait déjà anticipé le résultat. « Le soufflé retombe un peu, en attendant de nouveaux éléments (...) Beaucoup d'investisseurs s'attendaient à des réactions plus vives, voire à une intervention russe dans l'est et le sud de l'Ukraine », a expliqué à l'AFP Damien Vercambre, de la société Inter-Courtage.   Le marché « avait déjà anticipé » le résultat du référendum en Crimée, c'est-à-dire son rattachement à la Russie, ce qui avait poussé les prix à la hausse la semaine dernière. Il est donc logique que les cours baissent, estime pour sa part Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux et Associés. « Il n'y avait que les risques autour de la mer Noire qui faisaient progresser le marché », confirme M. Vercambre.   En outre, « au niveau commercial, le port de Sébastopol (en Crimée, NdlR) ne constitue pas un point majeur d'exportation des céréales ukrainiennes. L'essentiel du flux se fait en effet au départ du port d'Odessa ou encore de Nikolaïev », rappelait vendredi FranceAgriMer.   En revanche, pour 2014, la récolte ukrainienne de céréales « peut être d'ores et déjà diminuée de 1,5 million de tonnes produites en Crimée », estime M. Vercambre. En revanche, il est encore « trop tôt » pour juger des répercussions de la crise sur les semis de printemps en Ukraine, estime FranceAgriMer.   En Europe, les semis de printemps « progressent rapidement » grâce à la météo clémente de ces derniers jours, souligne Agritel dans une note. « L'état végétatif des cultures d'hiver est très avancé par rapport à l'an passé et par rapport à la moyenne de ces dernières années, laissant toujours craindre des dégâts en cas de gel tardif », ajoute le cabinet conseil.   En France, sur le marché de gré à gré, le prix du blé et du maïs était en baisse par rapport à vendredi.   Les prix des frets maritimes ont globalement reculé en fin de semaine dernière, après avoir atteint leur plus haut niveau en deux mois. Indice phare du marché, le Baltic Dry Index (BDI) a fini, vendredi 14 mars, à 1.477 points, contre 1.543 points une semaine auparavant. Le Baltic Panamax Index (BPI), qui synthétise les tarifs pour quatre routes (la plupart pour les céréales), a pour sa part terminé à 1.113 points vendredi, contre 1.075 points une semaine auparavant.  ...

lundi 17 mars 2014 - 18h10

Stables

Les prix des céréales ont peu évolué, vendredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mai 2014 valait 211 €/t (- 0,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 187 €/t (+ 0,75 €/t).  Les prix des céréales ont peu évolué, vendredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mai 2014 valait 211 €/t (- 0,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 187 €/t (+ 0,75 €/t).   « Le marché est calme, on a une consolidation et une parité monétaire plus favorable. Mais on surveille la Crimée et le référendum de ce week-end. Les prix ne peuvent pas bouger » avant cette échéance, a expliqué à l'AFP Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux et Associés.   « Les éléments politiques et économiques prennent le leadership » sur le comportement actuel des marchés des céréales, la crise en Ukraine venant soutenir les prix, ajoute le cabinet Agritel dans une note.   « Les exportations de grains au départ des ports ukrainiens de la mer Noire se poursuivent à un rythme record, faisant fi du marasme politique », répète Agritel, qui cite l'exemple de l'entreprise Nibulon, qui devrait « établir un nouveau record d'activité sur la campagne en cours », avec 3,6 millions de tonnes déjà chargées. Mais un « risque de ralentissement » n'est pas à exclure : « les acheteurs turcs de matières premières agricoles ont pris du recul vis-à-vis de l'Ukraine et ils mentionnent le risque politique comme un handicap majeur à la poursuite de leur activité », explique la même source.   Le marché européen du blé reste par ailleurs soutenu par de fortes exportations. Depuis le début de la campagne 2013/2014, l'Union européenne a exporté 21,3 millions de tonnes de blé, contre un peu plus de 14 millions l'an dernier à la même époque, expliquent plusieurs analystes. « Le maïs tire également son épingle du jeu en raison d'une demande européenne particulièrement dynamique, à en juger par le niveau record des importations à ce stade de la campagne », explique Agritel.   Les importations de maïs s'élèvent à un peu plus de 9 millions de tonnes pour la campagne 2013/2014, contre 8 millions l'année passée, selon les chiffres de la Commission européenne cités par plusieurs analystes.  ...

vendredi 14 mars 2014 - 17h59

Repli du blé

Le prix du blé a reculé, jeudi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mai 2014 valait 211,50 €/t (- 2 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 186 €/t (+ 0,25 €/t).  Le prix du blé a reculé, jeudi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mai 2014 valait 211,50 €/t (- 2 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 186 €/t (+ 0,25 €/t).   « Beaucoup de gens se posent des questions sur les niveaux atteints, qui sont sans doute exagérés » au regard de la situation réelle en Ukraine, alors que tous les derniers rapports montrent « que les chargements continuent » au départ de ce pays, analyse Damien Vercambre (Inter-Courtage), qui soupçonne « un peu de spéculation ».   D'autant que la contribution de la Crimée, qui pourrait faire sécession, n'atteint au maximum que « 5 % » de la production nationale ukrainienne de blé et d'orge. Elle devient « anecdotique pour le maïs et les oléo-protéagineux de manière générale », rappelle Agritel.   En Ukraine, les inquiétudes concernent davantage le retard que pourraient prendre les semis de printemps, et donc la prochaine récolte, relèvent plusieurs analystes. « Les producteurs vendent par petite quantité pour les besoins immédiats de trésorerie. Le manque de financement limitera l'usage des intrants (semences, engrais et phytosanitaires) », explique Offre et demande agricole.   Néanmoins, « le blé attire en masse les investisseurs financiers » qui voient des opportunités dans les « craintes géopolitiques avec la crise ukrainienne et les craintes climatiques avec l'extension de la sécheresse dans le sud des Etats-Unis », explique Agritel dans une note.   Ces éléments « relèguent au second plan » la révision à la hausse des stocks de blé français « en raison de moindres performances à l'export » en dehors de l'Union européenne, souligne Agritel.  ...

jeudi 13 mars 2014 - 18h16



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