Tendances céréales
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Les prix des céréales ont très peu varié, jeudi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2014 valait 194 €/t (inchangé), le maïs même échéance se négociant 174 €/t (- 0,25 €/t).
Les prix des céréales ont très peu varié, jeudi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2014 valait 194 €/t (inchangé), le maïs même échéance se négociant 174 €/t (- 0,25 €/t).
Les cours des céréales européennes ont fluctué autour de l'équilibre, jeudi, en l'absence d'éléments nouveaux sur l'état du marché, après la hausse du début de semaine et dans l'attente d'un rapport américain sur les stocks mondiaux, prévu lundi.
« Il n'y a rien de nouveau sur le marché (...) Il y a un manque de demande à l'export. Les blés français ne sont pas compétitifs, le marché vivote », a estimé Edward de St-Denis, de la société de courtage Plantureux & Associés.
La neige tombée ces derniers jours aux Etats-Unis « devrait permettre aux blés de résister », selon Agritel, mais ce sont désormais « les problèmes de logistique qui sont sous le feu des projecteurs, avec une tension particulière pour les livraisons rapprochées ».
Les Etats-Unis ont vendu près de 240.000 tonnes de maïs à des pays dont le nom n'a pas été révélé, indique Inter-courtages.
En Ukraine, la dévaluation de la monnaie locale, en raison de la crise politique, soutient les cours de l'huile de tournesol et du maïs, selon Offre et demande agricole. « Les agriculteurs sont peu vendeurs dans ces conditions », souligne le cabinet.
En France, sur le marché de gré à gré, les prix du blé étaient en baisse et ceux du maïs stables à la mi-journée. 
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jeudi 06 février 2014 - 18h38
Les prix des céréales ont peu évolué, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2014 valait 194 €/t (- 0,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 173,75 €/t (- 0,25 €/t).
Les prix des céréales ont peu évolué, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2014 valait 194 €/t (- 0,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 173,75 €/t (- 0,25 €/t).
La vague de froid dans le centre des États-Unis est source d'inquiétudes pour la prochaine récolte de blé d'hiver. « Les températures sont attendues en dessous de - 20°C alors que le couvert neigeux est faible dans le nord du Kansas et le centre du Nebraska », rapporte Offre et demande agricole.
Sur le pourtour de la mer Noire, les basses températures de la semaine dernière pourraient aussi avoir engendré quelques dégâts, complète Agritel dans une note.
La Corée du Sud a acheté 65.000 tonnes de maïs américain et 65.000 tonnes de blé fourrager dont l'origine n'a pas été précisée, selon Agritel.
En France, à la mi-journée, la tendance sur le marché physique (gré à gré) était à la consolidation des cours, blé et orge reculant de 1 €/t, tandis que le maïs restait stable. ...
mercredi 05 février 2014 - 18h17
Le prix du blé a progressé, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2014 valait 194,25 €/t (+ 2,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 173,50 €/t (+ 0,50 €/t).
Le prix du blé a progressé, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2014 valait 194,25 €/t (+ 2,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 173,50 €/t (+ 0,50 €/t).
Le marché européen des céréales a continué de tourner au ralenti, mardi, alors que la neige aux Etats-Unis et le froid en Russie contribuaient à tendre les cours.
Selon Agritel, les nouvelles chutes de neige aux Etats-Unis « devraient apporter les couvertures neigeuses suffisantes pour protéger les cultures » mais, pour l'heure, elles entravent les mouvements de marchandise, ce qui a eu pour conséquence une forte hausse des prix de base lundi.
En Russie, c'est le manque de neige qui fait craindre les effets des basses températures, prévient Offre et demande agricole (ODA) : le Centre météorologique a confirmé des risques sur les cultures d'hiver dans le centre-sud où les températures au sol pourraient tomber à des niveaux critiques. En-dessous de - 18°C, on entre dans une situation à risque pour les cultures ou les rendements.
En Argentine, c'est la situation financière et la dévaluation du peso qui incitent les producteurs à garder leurs grains en attendant des jours meilleurs.
Côté Mer Noire, l'Ukraine a exporté à ce jour l'équivalent de 21,5 millions de tonnes (Mt) de céréales en 2013/2014, dont 7 Mt de blé, 2,1 Mt d'orge et 12,3 Mt de maïs.
Selon Agritel, qui dispose d'un bureau à Kiev, pour susciter de nouveau l'intérêt des acheteurs de blé, les exportateurs ukrainiens sont en train de revoir à la baisse les prix du blé meunier, à 275 dollars la tonne, contre plus de 280 la semaine passée. « La manœuvre consiste à s'aligner sur les prix proposés par la Russie ».
La Russie a exporté, depuis le début de la campagne, 17,3 Mt de céréales, dont 13,1 Mt de blé, 2 Mt d'orge comme de maïs. Au cours de la semaine passée, la Russie a chargé plus de 100.000 tonnes de blé, notamment à destination de l'Égypte.
En France, sur le marché physique (gré à gré), la tendance était également à la consolidation des cours.
La demande de maïs à l'export « est en retrait, avec une activité portuaire modeste », indique l'AGPM dans sa lettre économique hebdomadaire. « Les prix sur la façade atlantique et sur le Rhin ont enregistré une baisse de quelques euros. Seule la demande intérieure, générée par les fabricants d'aliments du bétail et les amidonniers, permet de contractualiser quelques affaires. »
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mardi 04 février 2014 - 18h20
Les prix des céréales ont fait du surplace, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2014 valait 192,25 €/t (- 0,25 €/t), le maïs même échéance 173,50 €/t (inchangé).
Les prix des céréales ont fait du surplace, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2014 valait 192,25 €/t (- 0,25 €/t), le maïs même échéance 173,50 €/t (inchangé).
Le marché européen a semblé dans l'incertitude, lundi, suite aux annonces de coups de froid en Russie et aux Etats-Unis.
Une agence russe, APK, évoque de possibles dégâts causés au blé dans la région de Stavropol au pied du Caucase, non loin de Sotchi, région importante pour les blés d'hiver, souligne Damien Vercambre (Inter Courtage). De même, un nouveau coup de froid est annoncé cette semaine sur le centre-nord des Etats-Unis, dont le Dakota du Nord. « On sait qu'en-dessous de - 18°C, on est dans une situation à risque qui, sans détruire les cultures, peut affecter les rendements », note l'expert.
Sur la scène internationale, Agritel relève l'achat par l'Espagne de 110.000 tonnes de maïs originaire des Etats-Unis.
En France, sur le marché physique, les principales céréales perdaient 1 €/t à la mi-journée.
Les prix des transports de matières premières sèches ont poursuivi leur déclin la semaine dernière, en raison d'une chute de l'activité en pleine célébration du Nouvel An chinois. Indice phare du marché, le Baltic Dry Index (BDI) a fini, vendredi 31 janvier, à 1.110 points, son niveau le plus faible depuis la mi-août, contre 1.246 points une semaine auparavant. Le Baltic Panamax Index (BPI), qui synthétise les tarifs pour quatre routes (la plupart pour les céréales), a terminé à 1.337 points vendredi, un plus bas depuis la mi-septembre, contre 1.437 points une semaine auparavant. ...
lundi 03 février 2014 - 18h28
Les prix des céréales ont progressé, vendredi sur Euronext. En fin d'après-midi, le contrat blé mars 2014 valait 191,50 €/t (+1,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 173,50 €/t (+1,25 €/t).
Les prix des céréales ont progressé, vendredi sur Euronext. En fin d'après-midi, le contrat blé mars 2014 valait 191,50 €/t (+1,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 173,50 €/t (+1,25 €/t).
Les exportations européennes de blé restent dynamiques. Bruxelles a autorisé l'exportation de 608.931 tonnes pour la semaine écoulée, pour un « cumul record » de 17,32 millions de tonnes (Mt) sur la campagne commerciale 2013-14, rapporte Inter-courtage. En revanche, les importations de maïs dans l'UE restent importantes, avec 357.833 tonnes cette semaine, selon la même source.
L'offre mondiale de céréales reste abondante : le Conseil international des grains (CIG) a révisé à la hausse la production mondiale dans un rapport publié jeudi, avec 18 Mt de plus par rapport au mois dernier, moitié de blé et moitié de maïs. « La consommation n'est revue en hausse que de 6 Mt, ce qui conduit à un alourdissement de 8 Mt du stock mondial de céréales évalué à 387 Mt », souligne Agritel.
En France, sur le marché de gré à gré, les prix des céréales étaient à l'équilibre à la mi-journée.
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vendredi 31 janvier 2014 - 18h41
Les prix des céréales ont très peu évolué, jeudi sur Euronext. A la clôture, le contrat blé mars 2014 valait 190,25 €/t (+ 0,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 172,25 €/t (+ 0,50 €/t).
Les prix des céréales ont très peu évolué, jeudi sur Euronext. A la clôture, le contrat blé mars 2014 valait 190,25 €/t (+ 0,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 172,25 €/t (+ 0,50 €/t).
Les exportations états-uniennes de blé et de maïs ont été meilleures qu'attendu au cours de la semaine achevée au 23 janvier, grâce à d'importants achats du Nigeria et du Japon, a annoncé jeudi le gouvernement américain. Les ventes de blé sur la campagne commerciale 2013/2014 ont atteint 794.900 tonnes, en hausse de 89 % par rapport à la semaine précédente, selon le rapport hebdomadaire du ministère américain de l'Agriculture (USDA). Un chiffre « supérieur aux attentes », selon Damien Vercambre, de la société Inter-courtage.
Le Nigeria a notamment fait l'acquisition de 125.700 tonnes de blé américain. Ce pays, qui achète habituellement beaucoup à l'Argentine, s'est tourné vers les Etats-Unis en raison des faibles disponibilités argentines, où la récolte de blé a été modeste cette année, explique M. Vercambre. La semaine dernière, le Brésil, qui se fournit lui aussi généralement en Argentine, s'était tourné vers les Etats-Unis pour les mêmes raisons. Le Japon et la Corée du Sud ont également acheté des volumes importants de blé.
Les ventes américaines de maïs se sont aussi révélées meilleures que prévu, avec 1,838 million de tonnes pour la campagne commerciale 2013/2014, en nette hausse par rapport à la semaine précédente. Ce bon résultat est dû principalement à la vente de 750.000 tonnes de maïs au Japon, qui a aussi acheté 105.700 tonnes pour la campagne 2014/2015. De manière générale, « comme les prix ont beaucoup baissé, les gens estiment qu'il est maintenant temps d'acheter », analyse M. Vercambre. ...
jeudi 30 janvier 2014 - 18h51
Le prix du blé a sensiblement reculé, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2014 valait 190 €/t (- 2,75 €/t), le maïs même échéance se négociant 171,75 €/t (- 1,50 €/t).
Le prix du blé a sensiblement reculé, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2014 valait 190 €/t (- 2,75 €/t), le maïs même échéance se négociant 171,75 €/t (- 1,50 €/t).
Les cours du blé européen ont reculé, mercredi, l'Égypte préférant les blés américain et russe lors d'un appel d'offre qui a de nouveau pointé les problèmes de qualité des céréales du continent.
L'Égypte a renforcé son cahier des charges sur la qualité minimale des blés recherchés et en a finalement acheté mardi 180.000 tonnes à la Russie et 60.000 aux États-Unis, rapporte Agritel dans une note.
Le fait que l'Egypte ait imposé un taux d'humidité très bas à « 13 % maximum » a favorisé les blés d'origine russe et américaine, explique le cabinet conseil. « Après les interrogations sur les teneurs en protéine, l'humidité devient également un critère important à prendre en compte. Les exportateurs restent néanmoins confiants pour le moment vers les autres destinations où le blé français trouve son débouché depuis plusieurs campagnes », poursuit Agritel.
En maïs, l'Espagne a acheté 110.000 tonnes de maïs américain, rapporte Agritel. « Les importations sur la péninsule ibérique demeurent élevées, avec un marché largement abondé par les origines américaines et ukrainiennes », commente-t-il.
En France, sur le marché de gré à gré, les céréales étaient également orientées à la baisse à la mi-journée. ...
mercredi 29 janvier 2014 - 18h26
Le prix du blé a reculé, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2014 valait 192,75 €/t (- 1,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 173,25 €/t (- 0,25 €/t).
Le prix du blé a reculé, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2014 valait 192,75 €/t (- 1,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 173,25 €/t (- 0,25 €/t).
Les cours des céréales européennes sont repartis à la baisse, mardi, en raison d'un durcissement des conditions posées par l'Egypte pour un appel d'offre sur du blé. L'Egypte demande « un taux d'humidité de 13 % maximum, ce qui risque d'exclure le blé français », a expliqué à l'AFP Edward de St Denis, de la société de courtage Plantureux & Associés.
Les cours du blé européens souffrent aussi du niveau relativement haut de l'euro face au dollar, bien qu'en légère baisse mardi, à 1 euro pour 1,3642 dollar en début d'après-midi.
Malgré cela, « l'activité sur la scène internationale demeure soutenue, les acheteurs mettant à profit les bas niveaux actuels pour renforcer leurs couvertures », rappelle Agritel dans une note.
Lundi, les prix s'étaient raffermis dans le sillage du marché américain, en raison des dégâts que pourrait faire la vague de froid aux Etats-Unis sur les cultures. « Les opérateurs du marché du blé regardent encore avec attention le climat aux Etats-Unis, où les températures ont descendu en dessous des -20°C dans certaines zones de production », explique Offre et demande agricole.
Les prix du blé « restent inscrits au-dessus du niveau de résistance des 190-192 euros la tonne sur l'échéance mars 2014 », remarque Agritel.
Sur le maïs, « la vague de froid qui s'abat sur la région de la mer Noire paralyse quelque peu les exportations ukrainiennes (...), ce qui permet aux origines françaises de se positionner auprès de certains acheteurs », relève Agritel.
En France, sur le marché de gré à gré, les céréales étaient en baisse, mardi à la mi-journée.
« Sur le marché intérieur, la demande est portée par les fabricants d'aliments du bétail qui incorporent le maïs préférentiellement au blé fourrager en raison des écarts de prix. L'écart de compétitivité avec l'Ukraine s'est réduit, mais l'export du maïs français reste difficile. La demande espagnole est inexistante et la péninsule ibérique profite des opportunités ukrainiennes et américaines pour combler ses besoins », analyse l'AGPM dans sa lettre économique hebdomadaire. ...
mardi 28 janvier 2014 - 18h22
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