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Repli du blé

Publié le mardi 28 janvier 2014 - 18h22

Le prix du blé a reculé, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2014 valait 192,75 €/t (- 1,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 173,25 €/t (- 0,25 €/t).

 

Les cours des céréales européennes sont repartis à la baisse, mardi, en raison d'un durcissement des conditions posées par l'Egypte pour un appel d'offre sur du blé. L'Egypte demande « un taux d'humidité de 13 % maximum, ce qui risque d'exclure le blé français », a expliqué à l'AFP Edward de St Denis, de la société de courtage Plantureux & Associés.

 

Les cours du blé européens souffrent aussi du niveau relativement haut de l'euro face au dollar, bien qu'en légère baisse mardi, à 1 euro pour 1,3642 dollar en début d'après-midi.

 

Malgré cela, « l'activité sur la scène internationale demeure soutenue, les acheteurs mettant à profit les bas niveaux actuels pour renforcer leurs couvertures », rappelle Agritel dans une note.

 

Lundi, les prix s'étaient raffermis dans le sillage du marché américain, en raison des dégâts que pourrait faire la vague de froid aux Etats-Unis sur les cultures. « Les opérateurs du marché du blé regardent encore avec attention le climat aux Etats-Unis, où les températures ont descendu en dessous des -20°C dans certaines zones de production », explique Offre et demande agricole.

 

Les prix du blé « restent inscrits au-dessus du niveau de résistance des 190-192 euros la tonne sur l'échéance mars 2014 », remarque Agritel.

 

Sur le maïs, « la vague de froid qui s'abat sur la région de la mer Noire paralyse quelque peu les exportations ukrainiennes (...), ce qui permet aux origines françaises de se positionner auprès de certains acheteurs », relève Agritel.

 

En France, sur le marché de gré à gré, les céréales étaient en baisse, mardi à la mi-journée.

 

« Sur le marché intérieur, la demande est portée par les fabricants d'aliments du bétail qui incorporent le maïs préférentiellement au blé fourrager en raison des écarts de prix. L'écart de compétitivité avec l'Ukraine s'est réduit, mais l'export du maïs français reste difficile. La demande espagnole est inexistante et la péninsule ibérique profite des opportunités ukrainiennes et américaines pour combler ses besoins », analyse l'AGPM dans sa lettre économique hebdomadaire.

 
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