accueil  Accueil / tendances-bovins-boucherie
Elevage
Tendances bovins de boucherie

Les dernières tendances sont réservées aux abonnés

Pour y accéder, identifiez-vous dans le bloc "services experts" situé en haut à droite du site, et rendez-vous dans les cours et marchés
Si vous avez des problèmes de connexion, consultez l'aide.
Si vous n'êtes pas abonné, vous pouvez consulter nos offres.

Commerce morose

Les disponibilités s'etoffent, tandis que les besoins se réduisent.  Le marché s'engorge, faute de commandes dans les abattoirs, les quinze derniers jours de novembre étant souvent marqués par une baisse de la consommation.   Les sorties d'animaux allaitants se renforcent, et marquent un peu plus le déséquilibre entre l'offre et la demande. Les tarifs des charolaises reculent. Les animaux R+ et U- se valorisent entre 3,89 et 3,96 €/kg, tandis que les R- et O se placent entre 3,50 et 3,60 €/kg. La moyenne R= se situe entre 3,74 et 3,81 €/kg. Les allaitantes légères se négocient de 2,80 à 3,20 €/kg.   Dans le secteur laitier, les transactions restent difficiles. Les industriels maintiennent la pression face à des disponibilités suffisantes et à une concurrence européenne marquée. Les prim'holsteins, normandes ou montbéliards perdent encore de 3 à 5 centimes. Les prim'holsteins P+ lourdes se vendent entre 2,70 et 2,77 €/kg, et les P= de 2,40 à 2,60 €/kg. Les animaux P-1 ou 2 montent à peine entre 1,60 et 2,00 €/kg. Les normandes et les montbéliardes lourdent affichent 3,35 €/kg, les O=3 se situent entre 3,05 et 3,13 €/kg.  Lire

vendredi 20 novembre 2015 - 15h10

Ambiance lourde

Les dernières semaines de novembre sont toujours marquées par une activité peu soutenue en termes de vente dans l'aval. Les attentats de vendredi pourraient aussi entraîner un recul de la consommation.  Les dernières semaines de novembre sont toujours marquées par une activité peu soutenue en termes de vente dans l'aval. Les attentats de vendredi pourraient aussi entraîner un recul de la consommation.   Les industriels maintiennent la pression sur les réformes laitières et les allaitantes d'entrée de gamme (légères et en manque de finition). La tendance reste baissière avec des bonnes prim'holsteins P+/O- qui se négocient de 2,70 à 2,80 €/kg suivant les régions.   Le cours des vaches P dépend énormément du poids et de la finition de l'animal. Ces dernières se vendent de 2,45 à 2,60 €/kg si elles affichent plus de 260 kg sur le crochet. Les prix des normandes et des montbéliardes O=/O+ fluctuent entre 3,05 et 3,28 €/kg.   Concernant les animaux de qualité bouchère, mises à part les blondes d'Aquitaine qui restent largement offertes, les tarifs des parthenaises, des limousines ou des rouges des prés se tiennent. Les meilleurs animaux sont réservés pour les concours d'animaux de haute valeur bouchère qui débuteront début décembre.   Dans le domaine des réformes allaitantes de choix secondaire, les tarifs se tassent sur les marchés de ce début de semaine, avec un écoulement très sélectif en fonction du poids et de la finition. Les cours des vaches charolaises R se situent entre 3,66 et 3,89 €/kg, avec une moyenne à 3,80 €/kg sur le marché de Cholet où les animaux sont souvent au-dessus de 400 kg, et à 3,70 €/kg sur les places où les poids sont plus légers. Les animaux jeunes viandés (R+/U-) se vendent sans entrain de 3,89 à 3,96 €/kg, voire 4,20 €/kg pour les meilleurs.   En jeunes bovins, la modestie de l'offre permet de réguler les échanges. Sur le marché de Cholet, les tarifs se situent autour de 3,80 €/kg pour les charolais U=, et de 3,66 €/kg pour les R=. Les blonds d'Aquitaine de moins d'un an se vendent avec plus de régularité entre 3,89 et 4,12 €/kg pour les U convenables. Le prix des meilleurs grimpe à 4,42 €/kg. Dans cette race, l'âge et le poids des animaux ont autant de valeur que le classement.    Lire

lundi 16 novembre 2015 - 16h08

Les laitières perdent quelques centimes

La consommation est atone, et le marché souffre d'une offre supérieure à la demande.  Le commerce est tendu par une offre supérieure à la demande. Les prix sont globalement maintenus sur des marchés perturbés par le férié du 11 novembre. Les tarifs des charolaises font le grand écart entre les animaux R+ et U-, valorisés entre 3,89 et 3,96 €/kg, et les plus légers R- et O, commercialisés entre 3,35 et 3,66 €/kg. La catégorie R= affiche entre 3,74 et 3,81 €/kg.   Les transactions d'animaux laitiers restent difficiles. Les industriels maintiennent la pression face à des disponibilités toujours suffisantes, et une concurrence européenne féroce. Les prim'holsteins perdent quelques centimes. Les P+ lourdes se valorisent entre 2,75 et 2,80 €/kg, les P= de 2,45 à 2,60 €/kg. Les femelles P-1 ou 2 voient leurs cours malmenés, entre 1,60 et 2,00 €/kg.  Lire

vendredi 13 novembre 2015 - 17h02

Tendance baissière

Le 11 novembre réduit les besoins. Les cours tendent à se replier.   Le 11 novembre réduit les besoins. Les cours tendent à se replier.    Dans le centre du pays, l'offre suffit à couvrir la demande. La tendance est lourde en races à viande, les besoins étant modérés pour cette semaine écourtée par le férié du 11 novembre. Le commerce est calme, et les tarifs des charolaises R convenables affichent 3,81 €/kg sur le marché de Cholet. Les bonnes d'Aquitaine R+ ou U- se placent entre 3,89 et 3,96 €/kg. Les U de plus de 500 kg se négocient entre 4,60 et 5,03 €/kg, les moins de 400 kg entre 4,42 et 4,57 €/kg, et les R entre 3,81 et 4,40 €/kg. La majorité des allaitantes de choix secondaire se commercialise entre 3,70 et 3,89 €/kg. Les légères sont en moyenne à 3,70 €/kg, et les plus lourdes autour de 3,80 €/kg.   S'agissant des laitières, les industriels maintiennent la pression. La baisse de 5 centimes par kg se poursuit. Les bonnes prim'holsteins P+ ou O- se valorisent entre 2,74 et 2,80 €/kg. Les P=2 ou 3 se placent entre 2,20 et 2,60 €/kg. Les cours des normandes O= sont également en baisse. Les bonnes O+ partent à 3,35 €/kg.  Lire

lundi 09 novembre 2015 - 16h41

Le ciel s'assombrit

La consommation de viande bovine encaisse le coup des récentes déclarations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).  La consommation de viande bovine encaisse le coup des déclarations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) sur la viande. L'épisode médiatique a été court mais très violent, avec des conséquences directes sur les achats des ménages. Les répercussions sont également marquées chez nos principaux partenaires, avec une chute des ventes de 20 % en Italie.   La tendance est lourde pour les charolaises et allaitantes de choix secondaire. Leurs tarifs tendent à suivre ceux des animaux d'entrée de gamme dans la spirale baissière, eux-mêmes entraînés par la chute des prix des laitières. Les vaches R+/U- peinent à dépasser 3,90 €/kg. Si les prix des R= de plus de 400 kg se maintiennent entre 3,74 et à 3,85 €/kg, ceux des R- chutent entre 3,55 à 3,66 €/kg, et les O entre 3,20 et 3,50 €/kg en fonction du poids.   La tension reste très forte dans le secteur des laitières, dont les cours continuent de chuter. Les prim'holsteins P+/O- lourdes se vendent difficilement au-dessus de 2,85 €/kg. Les P=3 se négocient entre 2,50 et 2,65 €/kg. Quant aux P-, les cours restent entre 1,60 et 2,20 €/kg en fonction du poids et de l'état d'engraissement.   Du côté des jeunes bovins, c'est un nouveau coup dur. Le recul des ventes de viande en Italie entraine l'annulation de nombreuses commandes. Les prix sont stables alors que la tendance aurait dû être positive.    Lire

vendredi 06 novembre 2015 - 15h18

Nouveau coup dur pour les jeunes bovins

Les déclarations de l'OMS sur la relation entre la consommation de viande rouge et le cancer ont eu un impact direct sur la consommation avec un très fort repli des commandes sur la fin de semaine dernière.  Les déclarations de l'OMS sur la relation entre la consommation de viande rouge et le cancer ont eu un impact direct sur la consommation avec un très fort repli des commandes sur la fin de semaine dernière. Cet impact a été très fort en Italie, avec une pression médiatique encore plus prononcée qu'en France. Toutes les entreprises qui travaillent à l'export sur ce pays ont reçu des fax d'annulation de commandes.   Le résultat est un nouveau coup dur pour les éleveurs qui commençaient à reprendre espoir face aux légères plus-values de la semaine dernière. Tout est stoppé, et la progression des prix également, sur l'ensemble des places européennes.   Dans les femelles, l'impact est également marqué dans une ambiance lourde sur l'ensemble des marchés. Les acheteurs ont peu de besoins, et ce sont les animaux de qualité bouchère les plus touchés. Sur le marché de Cholet, les bonnes Blondes d'Aquitaine n'ont pas toutes trouvées preneur et voient leurs prix baisser depuis près de deux mois. Le commerce est également plus calme pour les Charolaises, avec des tarifs qui tendent à se replier. Le commerce est laborieux dans les allaitantes d'entrée de gamme (légères ou en manque de finition).   Pour les femelles laitières, les tarifs restent orientés à la baisse. Le cours des bonnes vaches  Frisonnes P+/O- se situe autour de 2,85 €/kg sur les marchés de Carentan, Cholet ou Rethel, avec des P=3 commercialisées entre 2,40 et 2,70 €/kg en fonction du poids. Les vaches Normandes convenables perdent également quelques centimes à 3,25 €/kg dans les O+.    Lire

lundi 02 novembre 2015 - 17h46

Forte pression à la baisse

Le commerce est lourd en allaitantes bas de gamme, et déprimé en réformes laitières.      La consommation recule. La pression est forte concernant les animaux destinés à faire de la viande hachée, avec un opérateur en position dominante sur ce segment. Les abatteurs accentuent la pression sur les allaitantes bas de gamme, pour approvisionner la grande distribution. Cette lourdeur commerciale s'étend aux races mixtes et aux allaitantes de choix secondaire. Les vaches R+/U- peinent à dépasser 3,96 €/kg. Les R= de plus de 400 kg se maintiennent entre 3,81 et 3,89 €. Les prix chutent de 3,60 à 3,70 € dans les R-. Ils descendent jusqu' à 3,20 ou 3,50 € dans les O, en fonction du poids.   Le commerce reste dépressif dans le secteur laitier, avec des tarifs orientés à la baisse. Les réformes prim'holsteins P+/O- lourdes se valorisent difficilement au-dessus de 2,90 €/kg, tandis que les P=3 se situent entre 2,55 et 2,70 €. Quant aux P-, les cours restent faibles, entre 1,70 et 2,30 € selon le poids et l'état d'engraissement.     Lire

vendredi 30 octobre 2015 - 14h48

Des échanges de jeunes bovins nettement plus dynamiques

Le marché des jeunes bovins se détend, tandis que celui des laitières reste sous pression.   La tendance montre un retour à l'équilibre entre l'offre et la demande de jeunes bovins. Mais la reprise est légère. Les jeunes bovins charolais U= vendus sur le marché de Cholet gagnent 0,02 €/kg, et affichent 3,80 €/kg. La vente des blonds d'Aquitaine se fluidifie avec la baisse de l'offre. Les tarifs ont repris 0,05 €/kg de moyenne sur la cotation grand Ouest de la semaine dernière. Même tendance à la détente pour les mâles laitiers.    En revanche, les cours des femelles laitières restent sous pression, malgré l'offre en recul. Les bonnes prim'holsteins P+ ou O- se vendent autour de 2,90 €/kg sur les marchés de Carentan, de Cholet et de Rethel. Les sujets P=3 se valorisent à 2,66 €/kg. Les normandes convenables perdent également quelques centimes, les O+ affichant 3,30 €/kg.   Le placement des blondes d'Aquitaine est de plus en plus tendu. La pression touche notamment les animaux viandés de plus de 500 kg, qui ont perdu 0,35 €/kg en un mois et demi.   En limousines et en charolaises, l'équilibre entre l'offre et la demande stabilise les prix sur le marché de Cholet, avec des vaches U= proches de 4,20 €/kg. La majorité des allaitantes de choix secondaire se placent entre 3,66 et 3,96 €/kg, pour une moyenne proche de 3,85 €/kg dans les vaches lourdes, et 3,74 €/kg pour les plus légères, voire moins pour celles manquant de finition ou âgées de plus de 10 ans.    Lire

lundi 26 octobre 2015 - 17h57

Les laitières toujours sous pression

De nombreux éleveurs sont accaparés par les travaux de saison. Les disponibilités de réformes laitières devraient s'en trouver amoindries.  Avec le temps de ces derniers jours, de nombreux éleveurs sont accaparés par les travaux de saison et donnent la priorité aux implantations de blé ou aux ensilages de maïs dans les régions les plus au nord. Les disponibilités de réformes laitières devraient s'en trouver amoindries, obligeant les industriels à relâcher la pression qu'ils imposent depuis de nombreuses semaines.   Pour le moment, les abatteurs gardent la main. Les cours des bonnes prim'holsteins P+ perdent encore quelques centimes à 2,85 €/kg sur les marchés et 2,90 €/kg en « direct abattoir ». Les tarifs du gros des ventes P= sont compris entre 2,50 et 2,70 €/kg en fonction du poids. Ceux des animaux bas de gamme et maigres restent malmenés, allant de 1,70 à 2,00 €/kg.   Concernant les animaux de races à viande, malgré une consommation peu tonique, les tarifs sont reconduits pour la grande majorité des femelles allaitantes lourdes et finies. Les vaches charolaises U= se vendent entre 4,04 et 4,20 €/kg à Cholet ou Saint-Christophe-en-Brionnais. Les R lourdes sont toujours commercialisées entre 3,89 et 3,96 €/kg. Les plus légères se négocient entre 3,70 et 3,80 €/kg. Les tarifs des O restent malmenés : ils sont compris entre 3,15 et 3,66 €/kg en fonction du poids.    Lire

vendredi 23 octobre 2015 - 12h02

Cours stables en allaitantes

Les cours des jeunes bovins remontent partout en Europe, sauf en France. Les laitières perdent quelques centimes, tandis que le marché des allaitantes est stable.  Sur le marché européen, l'offre recule en Italie comme en Allemagne, ce qui fluidifie les échanges et tire les prix vers le haut. En France, les retards d'enlèvement s'estompent doucement. Le commerce reste tendu faute d'équilibre entre l'offre et la demande. Les tarifs des jeunes bovins U= sont autour de 3,80 €/kg.   Les échanges de femelles sont calmes, car la demande se réduit pendant les vacances de la Toussaint. Malgré le recul de l'offre, les industriels maintiennent la pression. Les tarifs perdent encore de 4 à 5 centimes sur les marchés de Carentan, de Rethel et de Cholet. Les vaches lourdes P+ se valorisent autour de 2,90 €/kg. Les sujets P-1 partent à 1,70 €/kg tandis que les P=3 varient entre 2,52 et 2,75 €/kg. Les bonnes vaches normandes et montbéliardes voient également leurs cours baisser, avec des O= vendues de 3,28 à 3,35 €/kg.   Les tarifs des bonnes femelles charolaises, limousines viandées, ou allaitantes de choix secondaire R se maintiennent. Les charolaises R se commercialisent entre 3,74 et 3,89 €/kg, pour une moyenne de 3,85 €/kg.  Lire

lundi 19 octobre 2015 - 17h43

Les laitières toujours malmenées

Pour le moment, les abatteurs gardent la main. Les cours des bonnes prim'holsteins P+ reculent encore de quelques centimes à 2,85 €/kg sur les marchés, et 2,90 €/kg en « direct abattoir ». Le gros des P= se négocie entre 2,50 et 2,70 €/kg en fonction du poids.  Avec le beau temps de ces derniers jours, de nombreux éleveurs sont accaparés par les travaux de saison et donnent la priorité aux semis de blé ou aux derniers ensilages de maïs. Les disponibilités de réformes laitières devraient s'en trouver amoindries et obliger les industriels à relâcher la pression qu'ils imposent depuis de nombreuses semaines.   Pour le moment, les abatteurs gardent la main. Les cours des bonnes prim'holsteins P+ reculent encore de quelques centimes à 2,85 €/kg sur les marchés, et 2,90 €/kg en « direct abattoir ». Le gros des P= se négocie entre 2,50 et 2,70 €/kg en fonction du poids. Les animaux bas de gamme et maigres restent malmenés avec des tarifs allant de 1,70 à 2,00 €/kg.   Reconduction de la majorité des femelles allaitantes   Du côté des animaux de races à viande, malgré une consommation peu tonique, les tarifs sont reconduits pour la grande majorité des femelles lourdes et finies. Les vaches charolaises U= se vendent entre 4,04 et 4,20 €/kg à Cholet ou Saint-Christophe-en-Brionnais. Les R lourdes sont commercialisées entre 3,89 et 3,96 €/kg. Les prix des plus légères se situent entre 3,70 et 3,80 €/kg. Ceux des O restent malmenés. Ils sont compris entre 3,15 et 3,66 €/kg en fonction du poids.    Lire

vendredi 16 octobre 2015 - 14h49

Les réformes laitières sous pression

Le commerce est très calme face à une demande en recul à l'approche des vacances de la Toussaint. Les prix poursuivent leur dégradation.    Les disponibilités restent suffisantes pour une demande en recul à l'approche des vacances de la Toussaint. Les tarifs perdent encore de 4 à 5 centimes sur les marchés de Carentan, Rethel et Cholet avec des vaches P+ lourdes, valorisées autour de 2,90 €. La fourchette tarifaire est très large dans les vaches P avec une entrée de gamme (P-1) à 1,70 € et des P=3 qui varient entre 2,52 et 2,75 €, selon le poids. Les bonnes normandes et montbéliardes sont également orientées à la baisse avec des O= entre 3,28 et 3,35 €.   Les tarifs restent orientés à la baisse dans les bonnes femelles blondes d'Aquitaine, avec une baisse de 3 à 5 centimes sur le marché de Cholet.    Pour les génisses et les bonnes vaches charolaises viandées, le commerce demeure très calme face à un ralentissement des besoins, avec des tarifs qui peinent à se maintenir. Les vaches limousines U= de 450 kg se commercialisent autour de 4,50 €. Les charolaises de choix secondaire « R » se maintiennent, à des tarifs entre 3,74 et 3,89 € pour une moyenne proche de 3,85 €.   En jeunes bovins, mis à part les groupements ou les coopératives qui tentent de maintenir l'activité, les engraisseurs se démobilisent. La dégradation des prix se poursuit, avec toujours des reports de livraison. L'alourdissement des carcasses les met hors jeu pour l'export, ils sont donc réorientés sur le marché intérieur, où ils viennent concurrencer les femelles.     Lire

lundi 12 octobre 2015 - 17h33



SERVICES EXPERTS

>Première inscription

Je suis déjà inscrit :
Mon identifiant :
Mon mot de passe :  
| Aide |
puce Identifiants oubliés ?
puce Toutes les offres d'abonnement
> Feuilletez un ancien numéro

SONDAGE

Santé animale : avez-vous enregistré des cas d'antibiorésistance dans votre élevage ?

> Tous les Sondages
Les sujets
LES PLUS LUS

Archives de
La France Agricole

Recherchez

dans les archives de la France Agricole et

Feuilletez

les numéros depuis 2004

Suivez La France Agricole :
la France Agricole sur Facebook La France Agricole sur twitter La France Agricole sur Google +

Nos offres d'abonnement
simples ou couplées,
à nos publications
hebdomadaires
et mensuelles

> Découvrir nos Offres

Les publications du Groupe France Agricole
En poursuivant votre navigation sur notre site, vous acceptez l’utilisation de cookies afin de nous permettre d’améliorer votre expérience utilisateur. En savoir plus et paramétrer les traceurs. OK