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Repli du maïs

Le prix du maïs a reculé, vendredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2014 valait 169,75 €/t (- 2,75 €/t), le blé même échéance se négociant 201,50 €/t (- 0,25 €/t).  Le prix du maïs a reculé, vendredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2014 valait 169,75 €/t (- 2,75 €/t), le blé même échéance se négociant 201,50 €/t (- 0,25 €/t).   Les cours européens des céréales ont été pénalisés par le rebond de l'euro, passé au-dessus de 1,38 dollar dans la matinée.   Jeudi, le blé européen, et en particulier français, a fait chou blanc dans un appel d'offre égyptien portant sur près de 300.000 tonnes. L'Egypte a choisi d'acheter quatre bateaux de blé russe et un bateau de blé roumain, moins chers, rapportent plusieurs analystes. « Cela montre que (la France) va avoir du mal à vendre (à l'Egypte) jusqu'à la fin de la campagne », estime Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux & Associés.   De manière générale, les exportations européennes restent tout de même très élevées, avec plus de 931.000 tonnes de blé exportées la semaine passée, « nouveau record hebdomadaire et permettant ainsi de dépasser le volume de 20 millions de tonnes depuis le début de campagne », souligne Agritel.   En France, sur le marché de gré à gré, le prix des céréales était orienté à la baisse à la mi-journée.  ...

vendredi 28 février 2014 - 18h08

Hausse du blé

Le prix du blé a progressé, jeudi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2014 valait 201,75 €/t (+ 1,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 172,25 €/t (- 0,25 €/t).  Le prix du blé a progressé, jeudi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2014 valait 201,75 €/t (+ 1,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 172,25 €/t (- 0,25 €/t).   « Le marché est en manque de nouvelles haussières pour aller plus loin », fait valoir Agritel, étant donné l'absence d'incident climatique ayant un réel impact sur les cultures pour l'instant. En outre, l'appel d'offres public lancé jeudi par l'Egypte pour du blé risque fort d'échapper à l'Europe, et surtout à la France, 1er exportateur de l'UE. « Les opérateurs s'attendent déjà à un positionnement compétitif de l'origine russe », analyse Agritel.   Même si des rumeurs courent sur le relèvement par l'Egypte du taux maximum d'humidité des grains à 13,5 % (un critère d'achat essentiel), cela pourrait ne pas profiter au blé français « qui est en moyenne à 14 % », constate Edward de Saint-Denis, de la société Plantureux et Associés.   En France, sur le marché de gré à gré, le prix du blé était en baisse et celui du maïs inchangé, jeudi à la mi-journée.  ...

jeudi 27 février 2014 - 18h26

Hausse du blé

Le prix du blé a progressé, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2014 valait 200,25 €/t (+ 1,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 173 €/t (+ 0,75 €/t).  Le prix du blé a progressé, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2014 valait 200,25 €/t (+ 1,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 173 €/t (+ 0,75 €/t).   Aux Etats-Unis, après la vague de froid, les cours du blé ont vu leur hausse stoppée mardi par l'annulation par l'Egypte d'un achat de 110.000 tonnes de blé américain, expliquent plusieurs analystes. Des acheteurs privés égyptiens auraient décidé de se tourner vers du blé venant de la mer Noire, dont le prix est plus compétitif et la qualité meilleure, selon le cabinet Inter-courtages.   Plusieurs analystes font état par ailleurs de rumeurs selon lesquelles le GASC, l'organisme public égyptien d'achat de céréales, accepterait de nouveau un taux d'humidité de 13,5 % maximum pour la céréale, ce qui pourrait bénéficier au blé français.   Les investisseurs français continuent à surveiller avec attention les prix du maïs ukrainien « qui ont monté assez fortement ces derniers jours » en raison de la situation politique, réduisant l'écart de prix avec le maïs français, a expliqué à l'AFP Edward de Saint-Denis, de la société Plantureux et Associés.   En France, sur le marché de gré à gré, le prix du blé gagnait 1 €/t à la mi-journée, tandis que celui du maïs restait stable.  ...

mercredi 26 février 2014 - 18h04

Proches de l'équilibre

Le prix du maïs a légèrement reculé, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2014 valait 172,50 €/t (- 0,75 €/t), le blé même échéance se négociant 199 €/t (+ 0,50 €/t).  Le prix du maïs a légèrement reculé, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2014 valait 172,50 €/t (- 0,75 €/t), le blé même échéance se négociant 199 €/t (+ 0,50 €/t).   Les cours européens des céréales sont restés proches de l'équilibre, mardi, en l'absence d'événements nouveaux susceptibles de faire bouger le marché, et alors que la fermeté globale de l'euro reste pénalisante.   Si les cours du blé approchent du seuil des 200 €/t, « de nouvelles informations et inquiétudes apparaissent nécessaires pour casser ce niveau à la hausse », estime Agritel. Ce sont donc essentiellement les conditions climatiques qui sont à surveiller.   Les analystes observent de près les Etats-Unis « où le retour du froid sur les Grandes Plaines en l'absence de neige protectrice pour le blé, de même que la progression de la sécheresse », pourraient causer des dégâts aux cultures.   Sur le marché du maïs, l'« apaisement de la situation en Ukraine amène également de la détente (..) bien que l'incertitude soit de mise pour le financement des cultures sur la nouvelle campagne compte tenu du fait que le pays est au bord du défaut de paiement », précise encore Agritel.   En France, sur le marché de gré à gré, le prix des céréales restait inchangé par rapport à la veille, mardi à la mi-journée.  ...

mardi 25 février 2014 - 18h09

Repli du maïs

Le prix du maïs a cédé du terrain, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2014 valait 173 €/t (- 1 €/t), le blé même échéance se négociant 198,50 €/t (+ 0,25 €/t).  Le prix du maïs a cédé du terrain, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2014 valait 173 €/t (- 1 €/t), le blé même échéance se négociant 198,50 €/t (+ 0,25 €/t).   « Il y a de petites prises de bénéfices en jouant sur la parité monétaire » euro/dollar, a indiqué à l'AFP Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux et Associés.   En dehors de cet élément, aucune information nouvelle ne venait faire bouger les cours du blé et du maïs. « Les marchés demeurent stables, dominés par des considérations techniques et chartistes », commente Agritel.   En France, « les surfaces semées en blé ou en orge d'hiver semblent toujours promettre pour le moment de bons niveaux de rendements, avec plus de 70 % des surfaces jugées dans un état bon à excellent », analyse Agritel au vu de la publication, vendredi, des dernières statistiques de FranceAgriMer sur l'état des cultures (Céré'Obs).   A l'international, la Tunisie a acheté 75.000 tonnes de blé tendre et 59.000 tonnes de blé dur, tandis que la Turquie a cherché à acquérir 100.000 tonnes d'orge fourragère, selon plusieurs analystes.   En France, sur le marché de gré à gré, les prix des céréales reculaient de 1 €/t à la mi-journée.   Selon la note économique hebdomadaire de l'AGPM, « la France a été très fortement concurrencée sur ses marchés, en particulier sur la péninsule ibérique, mais également sur le nord-communautaire. Si l'Ukraine reste le principal concurrent, ces dernières semaines ont vu l'arrivée de maïs US sur l'Espagne, sur des volumes significatifs. Les événements ukrainiens offriront peut-être une marge de manœuvre aux exportateurs français, si la crise venait à perturber les expéditions du principal acteur maïs de la mer Noire ».   Les prix des transports de matières premières sèches se sont redressés la semaine dernière. Indice phare du marché, le Baltic Dry Index (BDI) a fini, vendredi 21 février, à 1.175 points, au plus haut depuis un mois, contre 1.106 points une semaine auparavant.   Le Baltic Panamax Index (BPI), qui synthétise les tarifs pour quatre routes (la plupart pour les céréales), a, lui, terminé à 1.244 points vendredi, au plus bas depuis la mi-septembre, contre 1.311 points une semaine auparavant. « Le marché des céréales en Amérique du Sud continue de souffrir d'un excès de tonnage et les tarifs ont continué à s'ajuster à la baisse » dans l'Atlantique, expliquent les analystes de Braemar Seascope.  ...

lundi 24 février 2014 - 18h01

Prix stables

Les prix des céréales ont peu évolué, vendredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2014 valait 198,25 €/t (- 0,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 173,75 €/t (- 0,50 €/t).  Les prix des céréales ont peu évolué, vendredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2014 valait 198,25 €/t (- 0,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 173,75 €/t (- 0,50 €/t).   Les cours des céréales européennes ont tourné autour de l'équilibre, vendredi, sur un marché soutenu par les bonnes exportations de blé et qui surveille de près la situation en Ukraine pour le maïs.   Le marché reste globalement dans une « dynamique positive », grâce notamment à la légère baisse de l'euro face au dollar, estime le cabinet Agritel dans une note. « Le blé bute sur le seuil des 200 €/t sur Euronext mais n'en demeure pas moins soutenu par une bonne activité export avec 756.000 tonnes de certificats octroyés la semaine passée par Bruxelles », explique encore Agritel.   En maïs, la crise en Ukraine, l'un des principaux exportateurs mondiaux, pourrait venir soutenir les cours. Les bateaux continuent certes à être chargés, affirme Agritel qui dispose d'un bureau à Kiev, mais « les nouvelles affaires sont quasi inexistantes avec des traders cloîtrés à domicile par sécurité ». De plus, les banques se montrent « frileuses pour monter de nouveaux financements à l'export » et les agriculteurs évitent pour l'instant de vendre leur production « face à la dévaluation continue » de la monnaie locale.   « On surveille (l'Ukraine) de très près. Si le gouvernement saute, cela risque de devenir problématique », reconnaît Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux & Associés.   Aux Etats-Unis, les cours du maïs ont bénéficié des prévisions du ministère américain de l'Agriculture (USDA) qui table sur un repli des cultures en 2014 (37,23 millions d'hectares, en baisse de 1,38 million par rapport à 2013).   Sur le plan commercial, la Tunisie a lancé un appel d'offre pour 67.000 tonnes de blé meunier (pour le pain) et de 59.000 tonnes de blé dur (semoule et pâtes), tandis que l'Algérie souhaite acheter 50.000 tonnes d'orge fourragère, selon la société Inter-Courtages.   En France, sur le marché de gré à gré, les prix des céréales restaient inchangés à la mi-journée.  ...

vendredi 21 février 2014 - 18h00

Proches de l'équilibre

Les prix des céréales ont peu évolué, jeudi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2014 valait 198,75 €/t (- 0,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 174 €/t  (+ 0,75 €/t).  Les prix des céréales ont peu évolué, jeudi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2014 valait 198,75 €/t (- 0,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 174 €/t  (+ 0,75 €/t).   Un grand calme régnait jeudi sur le marché européen des céréales, où les prix étaient quasiment stables, peu sensibles à la perspective d'un nouveau coup de froid aux Etats-Unis.   « Quelques inquiétudes persistent néanmoins sur les blés d'hiver américains. (...) Cependant, de bonnes précipitations neigeuses devraient protéger les cultures avant la baisse des températures », explique Offre et demande agricole.   Côté maïs, les cours « peinent à reprendre le chemin de la hausse dans un contexte de concurrence toujours féroce de la part de l'Ukraine », commente Agritel. « Toutefois, les événements politiques actuels sont de nature à tirer les prix domestiques à la hausse. En effet, les opérateurs craignent un blocage du pays et en conséquence de la marchandise », précise le cabinet, qui a dû fermer temporairement son bureau à Kiev en raison des violences. Mais, pour l'instant, les chargements de céréales ukrainiennes « demeurent exécutés dans le timing programmé », affirme encore Agritel.  ...

jeudi 20 février 2014 - 17h46

Toujours stables

Les prix des céréales ont peu évolué, mercredi sur Euronext. A la clôture, le contrat blé mars 2014 valait 199 €/t (inchangé), le maïs même échéance se négociant 173,25 €/t (+ 0,25 €/t).  Les prix des céréales ont peu évolué, mercredi sur Euronext. A la clôture, le contrat blé mars 2014 valait 199 €/t (inchangé), le maïs même échéance se négociant 173,25 €/t (+ 0,25 €/t).   A l'instar des jours précédents, les cours des céréales européennes ont stagné, mercredi, en l'absence d'éléments nouveaux et pâtissant toujours de la bonne tenue de l'euro (supérieur à 1,37 dollar). « Il n'y a pas de nouvelles informations, donc il ne se passe rien », résume Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux & Associés.   En attendant, « les travaux des champs ont pu reprendre dans de nombreuses régions en France, notamment avec l'application des premiers apports d'azote », note Agritel. « L'état des cultures est globalement jugé satisfaisant à la sortie de l'hiver sur le continent européen », précise la même source.   Même chose en Ukraine, où le ministère de l'Agriculture estime que « 93 % des cultures d'hiver sont dans des conditions satisfaisantes à bonnes », rapporte Inter-Courtages. En dépit des violences politiques, le « pays n'est pour le moment pas pénalisé sur son activité export » et a exporté 500.000 tonnes de maïs la semaine dernière, souligne Agritel qui possède un bureau à Kiev. Globalement, « les perspectives européennes à l'export sont de plus en plus mises sous pression par la mer Noire », avec par exemple plus de 680.000 tonnes de blé exportées en janvier par la Russie, remarque encore le cabinet conseil.   Aux Etats-Unis, la bourse de Chicago bénéficie des vagues de froid et du début de sécheresse sur la région des Grandes plaines. « Les semis habituellement les plus précoces de maïs au Texas commencent ainsi à prendre du retard », affirme Agritel.   En France, sur le marché de gré à gré, les prix restaient inchangés par rapport à la veille à la mi-journée.  ...

mercredi 19 février 2014 - 18h14



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