« Pour nous, le bon prix tourne autour de 150 euros la tonne et on en appelle à la responsabilité de chaque acteur de la filière pour que le jeu spéculatif reste raisonnable », a affirmé Jean-Marie Poncey, président de l'Association des écoles des métiers des industries céréalières (AEMIC). Il s'exprimait vendredi à Reims lors des 61es journées techniques des industries céréalières (JTIC).
« Du matin au soir les cours du blé peuvent fluctuer de 10 %, ce qui est très loin des marges dégagées par nos entreprises. Cette variation due au seul jeu des spéculateurs fragilise toute la filière », dénonce le président de l'association.
« La récolte de maïs aux Etats-Unis est de mauvaise qualité cette année, ce qui pèse encore plus sur le prix du blé qui monte à Paris alors qu'en France il n'y a pas de problème ni sur la quantité ni sur la qualité », regrette-t-il.
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mardi 19 octobre 2010 - 10h05
Sauf que l'INRA a déterminé l'an dernier le prix de revient d'une tonne de blé à 160 Euros/Tonne. Le bon prix commence donun peu au dessus car il faut une marge. Sinon au revir on finira par arrêter quand nous n'aurons plus les moyens de continuer. Travailler comme l'an dernier pour perdre des sommes considérables c'est terminé. Quant aux prix de ctte annee: primo tout le lmonde n'apas vendu tout son blé au plus haut et deuxièmement cela permet de boucher le trou de l'an denier et de faire une moyenne. Quant aux meuniers ils ont du faire de la marge l'an dernier quant le blé n'était pas cher car ils n'ont pas baissé leurs prix pour autant; en tous cas le prix du pain n'a pas baissé, alors que l'on ne vienne pas refaire le ccoup de 2007: quand la matière première monte on augmente, mais quand elle baisse on ne baisse pas et on garde la marge