Le lundi 2 septembre 2013, des militants anti-OGM ont occupé un entrepôt de la coopérative Lorca à Lemud, en Moselle.
Ces « faucheurs volontaires » souhaitaient dénoncer le développement des cultures résistantes aux herbicides ou VTH (variétés tolérantes aux herbicides), qu'ils considèrent comme des OGM cachés.
Ils ont ainsi mené une « inspection citoyenne » pour vérifier si la coopérative stockait des semences de colza muté, qu'ils n'ont au final pas trouvées.
Lorca a, de son côté, réaffirmé que la mutagénèse, dénoncée par les faucheurs, est une technique mise au point par la recherche publique et utilisée depuis plus de 50 ans, en agriculture conventionnelle comme biologique.
« OGM et plantes mutées ont les mêmes conséquences néfastes » (Confédération paysanne)
Dans un communiqué du 3 septembre 2013, la Confédération paysanne apporte son soutien à cette action. « Il est temps d'admettre qu'OGM et plantes mutées ont les mêmes conséquences néfastes, estime le syndicat. Les colzas mutés sont faits pour résister aux mêmes herbicides que les tournesols et les maïs mutés, ou que le blé, conduisant à l'accélération de l'apparition de "mauvaises herbes" tolérantes, et donc à utiliser toujours plus de produits. »
La Confédération paysanne demande en conséquence l'interdiction et le retrait immédiat du marché de ces semences.
popey16
mardi 03 septembre 2013 - 21h57
* ces faucheurs volontaires sont dephases je fini par croire que ce sont eux qui sont genetiquement modifies. ces nouveaux ecolos qui contestent le progres n ont pas connu l occupation 1939 45 avec ces tickets de rationnement de pain viande ect ils auraient comme les autres villotins mange des rutabagas et topinambours sans voir s ils etaient ogm ou traites aux pesticides.je ne souhaite apersonne de vivre une pareille epoque c est pourquoi il faut etre realiste et laisser toutes ces ideologies ecologiques qui interdisent toute croissance necessaire a l amelioration du niveau de vie des francais.